Notre "champ"
Non mais vraiment... je parlais de notre champ au lieu de notre jardin (car pour l'instant ce n'en est pas un...) mais là... on ne peut plus dire le contraire.
Un agriculteur fort sympathique a accepté de nous le labourer. Les deux sols pleureurs plantés avant l'hiver... ont disparu... ensevelis. Ils ressemblaient simplement à des brindilles, mais on attendait de savoir s'ils avaient pris. Et bien on ne saura jamais.
Quant aux chênes de Corse, c'est la même chose. Disparus eux aussi.
Quant à la zone qui n'est pas "labourée", c'est l'ancienne mare aux canards. Trop humide pour que le tracteur passe sans s'embourber (un comble...).
Le programme maintenant?
En septembre l'agriculteur doit repasser pour casser les mottes de terre afin que nous puissions planter le gazon l'herbe.